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« Paris la jeunesse ne meurt jamais sur les murs | Page d'accueil | Fragment d'Arras »
16:43 | Lien permanent | Commentaires (2)
Il ne faudra pas oublier la joie des découvertes intellectuelles ni la douleur des amours inabouties.
Écrit par : DST | 10/05/2015
Je ne les oublie pas.
Écrit par : Edith | 11/05/2015
Les commentaires sont fermés.
Commentaires
Il ne faudra pas oublier la joie des découvertes intellectuelles ni la douleur des amours inabouties.
Écrit par : DST | 10/05/2015
Je ne les oublie pas.
Écrit par : Edith | 11/05/2015
Les commentaires sont fermés.